Jérémie Warnia, a remporté ce week-end, avec son équipage, la prestigieuse course des 24 Heures Tout Terrain de France, organisée à Fontainefourche les 13 et 14 septembre.
Pendant une journée entière, les pilotes se sont affrontés sur le circuit pour offrir un spectacle exceptionnel ! Jérémie; déjà vainqueur par 6 fois de la Quaduropale du Touquet entre 2010 et 2017 a accroché une nouvelle distinction à son palmarès déjà bien fourni, tant en Europe qu’aux États Unis.
Il s’agit d’un bel exploit sportif, résultat de beaucoup de travail et de détermination
Renouvellement de la convention avec Armor Cuisine
Tarifs de la cantine et du périscolaire matin et soir
Délibération instituant la taxe sur les déchets réceptionnés dans une installation de stockage de déchets ménagers et assimilés
Autorisation donnée au Maire d’acquérir une parcelle en vue d’accueillir le city stade
Autorisation donnée à la CCPO en tant qu’autorité compétente pour ouvrir et organiser l’enquête publique relative au zonage d’assainissement des eaux usées de la CCPO et aux zonages d’assainissement des eaux pluviales de ses communes membres
Modification du périmètre du SDESM par adhésion de la commune de Savigny-le-Temple et Quincy-Voisins
Délibération fixant le montant de la location du terrain de sport rue d’Isles
Autorisation donnée au Maire de signer la convention avec Ciitélécom, solution d’alerte à la population
Convention relative à la mise à disposition d’abris-voyageurs avec le Département
Décision modificative à l’article 202 en dépenses d’investissement
L’INRAP effectuera des fouilles en vue d’un diagnostic d’archéologie préventive le 26 septembre sur le terrain situé à droite, à la sortie du village, rue d’Isles. Les travaux dureront environ 2 semaines.
Le diagnostic d’archéologie préventive consiste en la réalisation de tranchées sur le périmètre de l’opération dans le but de rechercher des vestiges archéologiques.
Les outils utilisés sont généralement une petite pelle. Le nombre d’intervenants sur site sera de 2 – 3 personnes.
A la suite de l’intervention, le terrain sera de nouveau remis en culture.
Service eau et assainissement de la CCPO – juillet 2025 NOTE DE SYNTHÈSE EXPLICATIVE DES DYSFONCTIONNEMENTS SUR LE RÉSEAU D’EAU POTABLE D’ARMENTIÈRES EN BRIE Fonctionnement normal du réseau La zone en vert sur le schéma de la figure 1 ci-dessous, fonctionne grâce à la pression générée par les pompes du forage (indiquées par la lettre « F »). Cette pression est régulée automatiquement entre deux seuils : un seuil bas et un seuil haut. Quand la pression descend en dessous du seuil bas, une première pompe se met en marche. Si cela ne suffit pas à atteindre le seuil haut, une seconde pompe se déclenche. Le débit fourni varie ainsi selon les besoins, entre 9 et 15 m³/h. Si, malgré un fonctionnement à plein débit (15 m³/h), la pression haute n’est toujours pas atteinte, un clapet (repéré par un point jaune sur le schéma) s’ouvre automatiquement. Il permet alors à l’eau stockée dans le réservoir de venir en renfort, afin de satisfaire la demande du réseau. La pression fournie par un réservoir dépend directement de sa hauteur : plus le réservoir est haut, plus la pression disponible est importante. Dans le cas du réservoir d’Armentières, qui est semi-enterré (c’est-à-dire positionné à faible hauteur), la pression qu’il fournit est limitée. Cela signifie que seules les habitations situées en contrebas bénéficient d’une pression suffisante. Il en est de même en ce qui concerne la défense incendie, en situation de fonctionnement normal, les poteaux incendie installés dans la partie basse du village répondent aux exigences réglementaires en matière de pression. En revanche, ceux situés dans les zones plus élevées ne peuvent pas garantir cette conformité, faute de pression suffisante. Fonctionnement dégradée du réseau. Depuis quelques semaines, à la suite des travaux menés sur la Marne, le forage a perdu en productivité. Lorsque le débit maximal de 15 m³/h est demandé, la nappe phréatique est trop sollicitée : le niveau d’eau dans le forage baisse alors jusqu’à atteindre un seuil critique. Cela menace le bon fonctionnement des pompes, qui doivent alors s’arrêter temporairement pour éviter tout endommagement, le temps que le niveau d’eau remonte. Ces arrêts entraînent une chute de la pression dans le réseau, en dessous du seuil bas de régulation. Le clapet s’ouvre automatiquement pour permettre l’apport d’eau depuis le réservoir, mais cette contribution ne suffit pas à maintenir une pression suffisante sur l’ensemble du réseau, notamment dans les zones situées en hauteur à proximité du réservoir. En cas d’arrêt complet des pompes du forage, la majorité du village n’est plus alimentée en eau, et le remplissage du réservoir est également interrompu. Lorsqu’un débit réduit est maintenu au niveau du pompage, le bas du réseau reste correctement alimenté grâce à l’appoint du réservoir via le clapet. En revanche, les habitations proches du réservoir, en particulier celles situées en hauteur, comme en haut de la rue d’Isles , ne bénéficient pas d’un relais de pression suffisant. Cela s’explique par le fait que le réservoir, étant peu élevé, il ne peut pas générer la pression nécessaire pour alimenter ces zones situées presque à la même altitude. Ainsi, avec des pompes qui ne peuvent plus fournir un débit suffisant, la pression dans les points hauts du réseau devient insuffisante. C’est précisément la situation actuelle : le débit de 15 m³/h ne peut plus être maintenu, car il n’est plus compatible avec la capacité de réalimentation de la nappe. L’exploitant a donc dû limiter le débit à 10 m³/h. Ce débit réduit peut s’avérer insuffisant, notamment lors des pics de consommation, pour garantir une pression correcte dans tout le réseau. Malgré les mesures mises en place et le retour à un niveau normal de la Marne, le débit maximal de 15 m³/h reste inatteignable à ce jour. Le débit bridé à 10 m³/h engendre encore des perturbations, en particulier dans les zones hautes du réseau et autour du réservoir. En ce qui concerne la défense incendie, en temps normal, même avec un débit de 15 m³/h, le réseau ne permet pas de garantir la pression et les débits réglementaires requis sur les poteaux incendie situés en hauteur dans le village. En effet, la pression générée par le réservoir, imitée du fait de sa faible hauteur, ne suffit pas à compenser les besoins très importants exigés en cas d’incendie (à savoir 60 m³/h à 1 bar de pression). La situation est aujourd’hui encore plus dégradée. Comme évoqué précédemment, le forage ne peut plus délivrer que 10 m³/h, un débit insuffisant même pour les poteaux situés dans la partie basse du village. Bien que le réservoir tente de compenser cette faiblesse, cela ne permet pas d’atteindre les seuils réglementaires en termes de débit et de pression, y compris dans les zones habituellement les mieux alimentées. En résumé, dans les conditions actuelles, aucune zone du village, ni en haut ni en bas, ne dispose d’un débit incendie conforme aux exigences réglementaires. Dans les prochains jours, une tentative de régulation à 12 m³/h sera mise en place. L’objectif est d’améliorer la situation en augmentant légèrement le débit par rapport à la configuration actuelle (10 m³/h), tout en restant compatible avec la capacité de la nappe. Ce débit de 12 m³/h pourrait éventuellement permettre, au minimum, d’atteindre les critères dégradés acceptés par le SDIS, à savoir un débit de 50 m³/h sous une pression de 0,6 bar. Cas particulier du fonctionnement de la zone du lotissement des vignes, du domaine du Vignois et du 4 de la rue de Mary : Les trois zones représentées en hachures violettes sur le schéma sont directement alimentées par la canalisation en rouge, qui correspond à la distribution en sortie du réservoir. Théoriquement, ces zones étant situées au-dessus du niveau du réservoir, elles ne devraient pas pouvoir être alimentées en eau, la pression gravitaire étant insuffisante. Toutefois, elles sont équipées d’un surpresseur. Ce dispositif permet, en fonction du fonctionnement des pompes de surpression, d’assurer un débit et une pression suffisants pour garantir un usage normal de l’eau potable dans ces secteurs en hauteur.
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